![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Construction :1936 Architectes :Siméon Brais (1936)/Gaston Gagnier (1958) Agrandissement :Saucier + Perrotte architectes/Menkès Shooner Dagenais Architectes (1997) |
![]() |
Ce bâtiment a été construit par les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception pour être la maison mère. Deux ailes ont ensuite été bâties à l’arrière et sur le côté pour accueillir des élèves du primaire. Les dernières religieuses sont parties en 1976. L’Université a loué les locaux avant d’en devenir propriétaire en 1995.
La Faculté de l’aménagement ainsi que le Centre d’exposition de l’Université de Montréal logent dans ce bâtiment.
La firme a été fondée en 1988 par Gilles Saucier et André Perrotte. Depuis sa fondation, la firme a participé à la construction et au réaménagement d’édifices dans les domaines institutionnel, culturel et résidentiel, ainsi que dans le design d’exposition à caractère muséal.
Cette firme a été fondée en 1961 par René Menkès qui s’est associé avec d’autres architectes au fil des années. Depuis 2004, sa raison sociale est devenue MENKES SHOONER DAGENAIS LETOURNEUX Architectes. La firme est engagée dans des projets de construction et de réaménagement dans les domaines commercial, corporatif, culturel, résidentiel et institutionnel.
La Faculté de l’aménagement est créée en 1968. Elle regroupe l’Institut d’urbanisme (1961) et l’École d’architecture (1964). La vision de l’architecte Guy Desbarats, premier doyen et principal promoteur du projet, repose sur l’idée de rassembler en un même lieu les différents domaines de la conception environnementale, dans le but d’aborder l’aménagement à travers une pluralité de points de vue. Aujourd’hui encore, la Faculté de l’aménagement regroupe l’enseignement universitaire de cinq disciplines – l’urbanisme, l’architecture, le design industriel, l’architecture de paysage et le design d’intérieur– ainsi que la recherche souvent multidisciplinaire dans de vastes champs d’application. Elle est la seule faculté francophone qui offre cette configuration d’une très grande richesse. Cela permet de traiter de l’intervention sur le milieu bâti et de l’environnement naturel à des échelles qui vont de l’objet, au bâtiment, à la ville et à la région.